Nathan Hill "Les fantômes du vieux pays"
Il y a toujours un moment du passé qui nous hante.
Samuel, professeur d’université, enquête sur la vie de sa mère, Faye, qui
les a quittés, son père et lui, lorsqu’il avait 11 ans…
Sur fond d’addiction aux jeux vidéo en ligne, ici « World of
escape » (en passant par la malbouffe), du rapport professeur/élève, d’amitiés
datant de l’enfance, de la contre-culture avec mai 68 à Chicago pendant la
convention démocrate (Hubert Humphrey, Allan Ginsberg, Walter Cronkite).
Sans oublier le « Nix » ce fantôme, cette créature qui prend
bien sa place tout au long du livre et cette phrase qui revient tout au long du
roman “Les choses que tu aimes le plus sont celles qui un jour te feront le
plus de mal" “The things you loved the most will one day hurt you the
worst¨.
Cela foisonne non de personnages mais de bonnes idées/pensées. Les phrases et les chapitres s’éternisent pourtant parfois mais cela ne nuit aucunement au roman.
De nouveau une bonne lecture.
Cela semble intéressant.
RépondreSupprimerTa photo est mystérieuse en diable.
Un vrai suspense ton image et ton titre :-)Moi j'ai envie de dire que c'est un petit ange qui se promène et qui va se poser sur ta plante verte :-)
RépondreSupprimerJe n'ai pas lu grand chose ces derniers temps, des articles, un petit livre d'Eric Fottorino "Dix-sept ans", qui parle de son enfance et de son rapport à sa mère.
La lecture et moi ça fait deux depuis "Le Rêve" d'Emile Zola qui m'a passablement fâchée avec la lecture. Depuis un certain temps je patine sur la lecture d'un livre de Peter Wohlleben sur la vie des animaux et j'ai du même auteur à lire un gros bouquin superbement illustré sur La Vie Secrète des Arbres.
RépondreSupprimerBonne lecture Thérèse !
😮
RépondreSupprimerBonjour Thérèse, il y a toujours une phrase qui happe dans un bon livre. Le mieux est de la noter aussitôt sinon on ne la retrouve pas. C'est vrai que ce qui risque de faire mal est ce qui compte le plus. L'indifférence protège de la peine mais elle empêche la joie.
RépondreSupprimerJe me souviens avoir voulu lire "le Rêve" d'Emile Zola et le sortir de la bibliothèque à Abidjan. Je devais avoir huit ans (car ensuite nous avions déménagé dans une réserve forestière). Mon père avait refusé que je le sorte car il a dit que l'auteur avait été à l'index. Je ne l'ai toujours pas lu ni aucune oeuvre de cet auteur
Supprimermerci, Thérèse, pour votre fidélité. Votre illustration fantôme est purement fantastique ...
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