Parc Monceau, Paris 9e, février 2015
En complément de mon billet de ce matin.
« Les quelques individus qui ont su me faire rêver durant ma vie, je leur dois ma longévité. Parce que l’intelligence, la poésie, l’humour sont des nutriments aussi nécessaires pour moi que les protéines du sol. Vos mauvaises ondes m’affaiblissent, vos bonnes vibrations me renforcent. Un arbre ne cherche pas que la lumière. Du moins, il la cherche partout.
« Le Journal intime d’un arbre » Didier van Cauwelaert, 2011
vendredi 6 mars 2015
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